Publié dans Le Progrès social n°2643 du 08/12/2007 La modernité dans une volonté de respect d’autrui a ciselé les mots jugés trop crus, trop grossiers, trop abrupts. La voix publique, celle de la classe politique, des personnes médiatisées, des diffuseurs d’informations, a suivi les recommandations du « politiquement correct. » Le sourd est devenu malentendant, l’aveugle malvoyant. […]